jeudi 30 décembre 2010

La légende dit qu'elle est habitée par un Grand Lapin… Et ses petite taches que l'on voit d'en bas, là, ce sont ses lapereaux?


J'essaie souvent de voir ce que mes rêves peuvent renfermer comme sens caché(s)…



L'apparition du tigre dans les rêves provoque un réveil angoissé. Elle ranime les terreurs qu'a engendrées l'approche du fauve de la forêt, ou sa vue dans les jardins zoologiques et cirques. Beau, cruel, rapide, il fascine et terrifie.
Dans les rêves, selon E. Aeppli, il représente un foyer de tendances devenues complètement autonomes et sans cesse prêtes à nous assaillir à l'improviste et à nous déchiqueter. Sa puissante nature féline incarne un ensemble de poussées instinctives dont la rencontre est aussi inévitable que dangereuse […] Ces instincts se montrent sous leur aspect le plus agressif parce que, refoulés dans la jungle, ils sont devenus complètement inhumains. […] C'est un despote perfide qui ne connait pas de pardon. Voir déambuler un tigre dans ses rêves signifie être dangereusement exposé à la bestialité de ses élans instinctifs.
Le tigre symbolise l'obscurcissement de la conscience, submergée par le flot des désirs élémentaires déchaînés…





Mystérieux, familiers et souvent inconvenants compagnons des clairs de lune de l'imaginaire, les lapins hantent nombre de mythologies, croyances, folklores. Jusque dans leurs contradictions tous se ressemblent comme se ressemblent les images de la lune. Avec elle, les lapins sont liés au symbolisme des eaux fécondantes et régénératrices, de la végétation, du renouvellement perpétuel de la vie sous toutes ses formes. Ce monde est celui du grand mystère où la vie se refait à travers la mort. L'esprit qui n'est que diurne, s'y heurte, saisi à la fois d'envie et de crainte devant des créatures, qui prennent nécessairement pour lui des significations ambigües.


Les lapins sont lunaires parce qu'ils dorment le jour et gambadent la nuit, parce qu'ils savent, à l'instar de la lune, apparaître et disparaître avec le silence et l'efficacité des ombres, enfin parce qu'ils sont à tel point prolifiques que c'est leur nom que M. Larousse a choisi pour illustrer le sens de ce mot.

La lune en arrive parfois à devenir elle-même lapin […] et quand il n'est pas la lune elle-même, il est son complice ou son proche parent. Il ne peut être son époux, car il faudrait pour cela qu'il possède une nature contraire ; mais il est son frère ou son amant – cas dans lequel leurs rapports ont quelque chose d'incestueux, c'est à dire de sacré gauche.


Le lapin participe de l'inconnaissable, de l'inaccessible, sans cesser pour autant d'être un voisin, un familier de l'homme sur cette terre. Il est intercesseur, un intermédiaire entre ce monde et les réalités transcendantes de l'autre…

Droit et gauche, faste et néfaste, l'ambivalence symbolique du lapin apparaît souvent en des images ou des croyances qui imbriquent si bien les deux aspects de son symbole, qu'il est difficile de les isoler.

Bonheur et chance, abondance et travail, mais aussi crainte, ivrognerie, malice, cynisme et débrouillardise…



…Si je rêve de lapins dois-je être terrorisé ou rassuré?

mercredi 22 décembre 2010

Préparatifs de Noël…


La semaine dernière, décorant mon petit chez-moi pour Noël, il m'est arrivé quelque chose d'étrange…
La guirlande tigre sauvage destinée à ma fenêtre était devenu trop grande!
L'année dernière elle lui allait pourtant encore comme un gant…

On m'avait bien parlé de bois "bougeant" avec le temps, mais je ne pensais pas qu'il pouvait s'atrophier, je le voyais plutôt prendre de l'envergure, de l'embonpoint…
Ça doit être le temps! Cet hiver est particulièrement froid et il parait que parfois les basses températures peuvent avoir un effet "rétractant" (ou rétractile?)…

Enfin, remarque il vaut mieux que ce soit dans ce sens là.
Je peux toujours en couper un morceau pour l'ajuster ; chercher à la rallonger aurait été plus difficile.
…Mais maintenant une question se pose : je coupe la tête ou la queue?





mercredi 1 décembre 2010